Nom: Falen
Classe: Cambrioleur
race: Humain


Une ombre s'agite sous la surface sombre du lac. Oui, je connais cette endroit, j'y suis déjà venu.
Pourtant l'atmosphère est toujours aussi lourd, comme le laisse percevoir le regard des hommes et des femmes sur la berge. Ils ont le cœur serrés, mais leurs mains ne tremblent pas.
Soudain, une vague immense déferle sur eux, les murs de la caverne tremblent et raisonnent du hurlement qui en suit. Une passerelle s’effondre et c'est enfin l'assaut.

"Chasseur! tirez sur le tentacule droit et ne le lâché plus!
Attention! ne vous laissez pas corrompre par ce maudit gardien des eaux, cela peut nous être fatales!
Gardien, maintenez votre position et évitez qu'il ne se retourne!"

Ceci sont les derniers ordres du capitaine Camellya avant que le guetteur ne sombre et disparaisse dans les profondeurs abyssales de la Moria.
Je relève mon capuchon détrempé et le sourire aux lèvres lance à l'assemblé.
"Enfin il est tombé."
Je ne peut que songer, qu'une telle entreprise n'aurai pas put se réaliser sans ces hommes et ces femmes qui, lors d'un instant font union contre le mal pour remporter la victoire.
Une voie raisonne encore dans ma tête, une simple phrase.
"Alors Falen, toujours tout seul!"
Oui, je sais que seul, je ne pourrait pas réaliser de grandes choses. que l'union fait la force.
Et pourtant me voila errant dans cette terre, moi et mon cheval....

Enfant du pays de Dale, j'en ai qu'un vague souvenir à présent. Les guerres intestines frappaient la régions à l'époque et je me retrouva arraché à ma terre natale très tôt par quelques brigands peut scrupuleux. Et c'est ainsi que je grandi sur les rives de la rivière Gwathlô, dans le port de Tharbad.
Enfant vagabond, je fût pris sous l'aille de Thordil. Un homme sévère à la forte carrure. Ancien et grand marin jusqu'à ce qu'un accident en mer lui fit perdre la jambe gauche. Il se mit en conséquence à fournir les bateaux et à mettre en place un réseau de distribution du courrier et de marchandises. La contrebande était de son quotidien, et je grandi a ses côté entre les quais et les égouts de la ville de Tharbad. Une petite frappe qui pour arrondir ses fin de mois n’hésitait pas à fouiller les poches des badauds qui traînaient autour des étales de quelques marchés bien fourni. En grandissant , Thordil me confia le secteur courrier, Je découvris de nouveaux horizons, ainsi que la douce ville de Bree! Décidant de prendre ma vie en main, je rencontrait une préteuse sur gages du nom de Morven. Une vieille femme que l'on dit avoir 110 ans, d'ascendance inconnue, qui vivait au dernier étage d'une maison du quartier le plus infestée par le vice de la ville. J'appris a magniez le couteau pour survivre et savoir ce faire discret! Pourtant, m'avançant la rançon de ma liberté, elle me permit de quitter cette vie. A présent je suis libre de mes choix!
Désirant me racheter une conduite, Je quittait les docks, Tharbad et ses ruelles sombres pour m'installer durant un temps au poney fringuant, a Bree, afin d'aider le maire de la ville avec lequel j'avais lié quelques bon rapports lors de mes livraisons de courrier.
L'aventure est désormais à mes pieds.
Je repense à cette phrase « Toujours tout seul ». Ma décision est prise, que ce hobbit de Torby ne m'en tienne pas rigueur et que les vents le portent.
Alors je longe le marais aux cousins, bifurque à droite et prend la direction des résidences du pays de Bree.
Puis, dans le quartier Vivelutte, je frappe à la porte 8 rue longue.
Je fais en sorte de ne pas me mettre dans l'ombre pour être vu de ses occupants. On ne sait jamais !

hrp> Chers amies et amis Malta A Miril, je frappe aujourd'hui à votre porte pour vous demander l'autorisation de rejoindre vos troupes. Cela fait maintenant plusieurs mois et même plus que je partage avec vous de nombreuses aventures . Je remercie Dame Camellya et son acolyte de chasseur Teil de m'avoir accueilli toujours avec sympathie et grâce à qui, j'ai put découvrir de nombreuses instances. Leurs connaissances accrus du monde, mon fait bénéficier aussi de nombreux conseils ! Voilà des guides hors-pair pour allez toujours plus de l'avant !

Que les vents vous portent !

La porte s’ouvre sur une jeune femme aux cheveux très courts, inconnue du cambrioleur. Elle le fixe pendant quelques instants, comme pour le défier. Elle finit par s’effacer pour le laisser entrer puis le guide vers la grande salle.

Camellya semble très affairée devant la table des cartes qui déborde de courriers et missives. Elle lève la tête et s’exclame : « Maître Falen, mon ami, quelle bonne surprise ! »

La jeune femme chuchote quelque chose à l’oreille de la capitaine, qui sourit.

« Visiblement, vous parliez tout seul à voix basse devant la porte. Myra vous a entendu. Venez, installons-nous à côté, je crois que nous avons beaucoup à nous dire. Je vous offre une bière ? »

Elle jette un œil sur les paperasseries de la table en soupirant. Ça attendra bien un peu.

« Vous n'êtes plus seul, mon ami. »

C'est dans l'atmosphère enfumée du poney fringant que j'avais rendez vous avec mon contact. Je fûs fort surpris de constater que se fût Dame Camellya en personne, dans une tenue discrète pour ne pas révéler sa vrai identité de capitaine, qui m'attendait attablée une chopine devant elle. N'ayant point pris de précaution particulière pour me faire discret, elle me fit signe d'approcher et de m'installer. Elle fit glisser la chope dans ma direction. Puis elle releva son capuchon.
"Nous allons continuer notre entretien dans cet endroit, si ça ne vous dérange pas", m'annonça t'elle.
J'acquiesçais de la tête tout en portant la chope à mes lèvres. Pour sûr que ce n'était pas du sirop!
Elle m'expliqua les règles à tenir et mes obligations. L'histoire des Malta A Miril et nos anciennes alliances. L'alcool faisant effet, je ne me souviens pas de tout, mais lui prêtais allégeance du moins je crois.
Après m'être remis de ces quelques boissons fortes, elle m'annonça que je faisais partie des leurs.
Je m'inclinais avec respect avant de m'effacer.

"Chers consoeurs et confrères Malta A Miril, que mes lames soient à votre service.
Je suis fier de partager votre humble demeure ainsi que vos coffres....heu...bref...passons.
A bientôt sur les terres du milieu.
Que les vents vous portent."

« Heureux de vous savoir parmi nous. A l'avenir, bien plus que le Guetteur de l'eau, c'est peut-être l'Ombre elle-même qui chutera devant nous !

Que les étoiles vous guident dans l'obscurité que vous chérissez. »

"Les quelques aventures déjà partagées m'incitent à penser que c'est une bonne chose, autant pour Malta A Miril que pour vous Falen.... soyez le bienvenu chez vous"

*Affiche un large sourire... et resserre discrètement le lien de la bourse contenant ses quelques pièces d'argent*

N'étant moi-même qu'une fraiche recrue, je m'interroge sur l'attitude que je suis sensée avoir, voyant que la réaction de tous consiste à cacher tout objet de valeur, j'en déduis que ses doigts doivent être aussi lestes que ceux de ma mère ce qui me fait sourire.

Tiens donc, serait-ce le vent qui devrait nous porter plus léger qu'avant votre passage ? Je vous rassure, je n'ai aucun poids desquels vous ayez besoin de me délester.

Je souris.

Je ne suis là que depuis peu, mais c'est un plaisir de voir un nouveau visage parmi les Malta, bienvenue à vous.

Bonjour à tous, je vient vous présenter en ces lieux une connaissance à moi.
Un nain tout à fait honorable tant pour son amour de la bière que son côté protecteur,
tel un père, voir un peut trop depuis que je l'ai sortie de gobelinville.
Bon, je vais lui laisser la parole à présent.
Mon ami Gremal, c'est à vous.

Présentation:

Nom:Gremal
Race:Nain
Classe:Gardien
Profession:ferronier;tailleur;prospecteur

Bonjour à tous.
Je m'en vais vous conté ma petite histoire afin que vous sachiez d'ou je viens.

*s'éclaicie la voix*

Voilà, cela fait plusieurs jours que je suis au service de maïtre Dwalin, en tant que gardien du palais de thorin. Et pourtant je viens de loin, loin au sud, dans ma terre natale de l'Ered Nimrais, les montagnes blanche comme on dit. Je me nome Grémal , jeune gardien.
Plusieurs années en tant que mineur vous forge les bras, on y passe tous dans le clan.
Mais pour certains que les élites du clan on choisi, ils peuvent embrasser la voie militaire.
Ce que je fit avec l'appuit de mon père qui n'est autre que le chef de notre petit clan. "sa aide!"
Pourtant "Mahal" me choisi un tous autre destin que de servir à la protection de notre communoté. La guerre gronde au Nord, L'Isengard se reveil!.
Les gobelins de nos montagnes se font recruter par un magicien et ceci se mettent à piller nos galeries. Ce n'est pas l'or qui les interesses,mais le fer et le bois.
Des forges sauvages fleurissent un peut partout ainsi que de profondes galeries ou des centaines de gobelins s'activent à pousser leurs petits vagonnés de minerais.
Ce n'est plus tolérable. Il faut que sa cesse. Le gondor est trop occupé de la menace du Mordor pour préter une quelconque importance aux nains, ceux du Rohan son désorganisés et on dit que des ouargues et des orques se promènent sur leurs terres.
Il ne reste plus que nous, brave nain.
Je fut détaché avec ma troupe à des actions de sabotage des mines ennemi.
Le nord des montagnes blanche avait sa résistance en marche.
Notre connaissance du terrain affaibli considérablement les hordes de gobelins et même de trolls qui se retrouvaient broyés sous des tonnes de rochés que nous détachions des flancs de la montagnes. On peut dire que nous étions efficaces!.
Pourtant, un soir, alors que nous festoyons d'une victoire autour d'un grand feu, chantant et se désaltérant d'une bonne bière brassé par nos femmes.
Je surpris une étrange créature à furter dans l'ombre. Je ne put m'empécher de la suivre. C'est alors qu'une toile gluante me couvris le visage, je tribucha , trois araignées de couleur ébène me tombairent dessus. L'affrontement eu bien lieu, et au final, me voila fiselé et trainé dans les profondeurs d'une galerie lugubre et gluante...
Quelques heures plutard, j'ouvris un oeil, la créature furtive était en train de me dérober mes quelques effets. Elle s'écarta vivement à mon réveil.
Les bruits venant de la salle voisine, dont une lueur vassillante en éclairé l'espace, me fit comprendre que j'étais le prisonnier de viles gobelins à présent et non le repas de ces repoussantes araignées. Un soulagement envahie mon coeur pour un cour instant.
Je fut déplacé de camp en camp, maltraité, bousculé et injurier. J'entrevis la tour d'Orthanc, les abord de la forêt de fangorn.
Puis les montagnes à nouveau. Celle des monts brumeux, celle de khazäd-düm!. Mes heures étaient sombres, je ne pensais pas m'en sortir.
Le voyage se prolongeant toujours plus loin vers le nord! Un jour, alors que je frodonnais une chanson de chez nous pour me remonter le moral, tous en essayant de capturer un rat pour compléter un repas des plus frugale. J'entendis raisonner le fer qui s'entrechoqués.
Derrière mes barreaux, je put voir une agitation de la part de mes jolliers. "Un combat! oui! un combat!" .
Je me mis a crier du fond de ma cellule. Mon gardien, me repoussant fermement, ne put voir les deux dagues qui lui perfora la cage thorasique.
Il s'effondra, un voleur du nom de Falen trancha mes chaines.
Il m'appris que nous étions dans la cité gobelinne au doux nom de "Gobelinville". Tant de voyage, si loin de chez moi à présent.
Falen m'aiguilla tous d'abord à un avant poste nain dans les monts brumeux, que maitre Gloin dirigé. Celui ci me dirigea ensuite vers le palais
de thorin pour lequel j'exerce ma profession de gardien au service de Dwalin.
Quand à Falen, j'ai gardé des liens étroits avec lui et sa confrérie. Qui sait, je traverserait les terres sous leurs bannières peut être un jour.
Voilà mon périple, et bien d'autres aventures m'attendent dans la terre du milieu, jusqu'au jour ou je retrouverais les miens!

Que la guerre commence!!!!!